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Lundi (10/08/09)
I had thoughts about
But it was crazy. 

My life is really wonderfull, even I had doubt about my feelings.
Well, it's a fucking mess.
Ecrit par Katarzyna, à 18:25 dans la rubrique Actualités.
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Jeudi (12/06/08)
Après tout, rien n'a vraiment changé.
Il est toujours au fond de tout, de mes yeux, de mon crâne, son visage tatoué à l'éternel. Il est toujours mes regrets et l'amer à l'amertume, il est tout de moi. Il est là. Et il sera. Sans doute.
Il est ma nostalgie, ma haine du passé, il est mes amours à l'infini, mes enmerdes, surtout. Où es tu? Avec qui, sans quels bras, dans quel lit? Où suis-je, si pleine de ce que j'aurai du, pu te dire. Pleine de ce passé révolu, si présent en rêves.
Il est lui, qui lui ressemble, que je suis un peu, par curiosité. Il est ce guitariste, qui aime les mêmes groupes, il est mon amour, qui tient les mêmes raisonnements. Il est cet homme, au regard similaire, au yeux qui troublent et remuent la fange en moi. Il est tout de mon monde, source de ma vie, il me brise encore.
Il est ce poignard qui me lacère dès qu'un détail me l'évoque. Il est cette certitude, celle que lui sans moi, moi sans lui, ça ne tient pas. Ca n'est pas possible.
J'avance, je n'oublie pas. C'est une promesse que j'aurai voulu ne pas tenir. Ne jamais oublier.
Ses bras me cherchent, où je ne suis plus.
Ecrit par Katarzyna, à 17:55 dans la rubrique Actualités.
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Jeudi (22/09/05)
Why?

Pourquoi tu ne peux pas m'aimer comme je suis? Pourquoi tu ne peux pas être fier de moi? Pourquoi est ce que tu ne me fais jamais de compliments? Pourquoi est ce que je suis si nulle, nulle, nulle dans tes yeux? Pourquoi est ce que tu ne me quittes pas? Pourquoi est ce que tu ne file pas vers une autre, une autre qui n'aura pas mes traits joufflus, mon acné et mes lunettes? Une autre qui n'aura pas les cheveux de Louis XIV...

Pourquoi t'es là? Pourquoi tu me fais mal aussi sincèrement pour me dire plus tard que tu m'aimes? Pourquoi je crève de toi? De chacun de tes mots? Pourquoi j'ai pas d'attentions, les attentions dont je rêvais? Pourquoi j't'envoie des lettres, pourquoi t'adore ça mais que tu le fait jamais? Pourquoi on s'engueule tous les soirs pour que tu t'excuses le lendemain matin? Pourquoi tu me fais subir ta fatigue? Pourquoi tu ne veux pas mon bonheur? Pourquoi je suis là?

Pourquoi tu m'attaques? Pourquoi tu te bornes, pourquoi j'ai toujours tort? Pourquoi je m'escrime à t'envoyer de jolis sms pleins de mots gentils, même si les tiens m'ont arraché le coeur, pour ne pas te faire de mal, pour ne pas te blesser, alors même que les larmes coulent sur mes joues jusqu'à m'en donner le vertige? Pourquoi je rechigne à être blessante?

Je suis faible, nulle, lâche, sale.
Et je m'en veux.

Ecrit par Katarzyna, à 21:59 dans la rubrique Actualités.
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Lundi (19/09/05)
Chaussures...ect.

Le coeur tordu. J'sais que c'est pas de l'amour. A peine de l'attraction. Juste le sentiment de me sentir aimée en semaine, alors que Lui, Lui mon amour n'est pas là à mes côtés, pas là pour me dire "Je t'aime", pas là pour m'embrasser, pas là pour rire ensemble...

Et que lui, ben lui il est là. Lui il me sourit, on échange des regards complices, je lui fait des grimaces et il rigole, nos regards se croisent d'un bout à l'autre des salles de classe, on discute sur msn longtemps, puis moins longtemps.

Et des fois des films dans ma p'tite tête. Lorsqu'il est là je me sens moins seule. Mais je l'oublie lorsqu'Il est là. Mais il est sympa, mon p'tit L. Mon suppléant délégué. Y penser c'est déjà tromper? Moi infidèle? Jamais. Jamais.

Pas de faiblesse, je n'en veux pas. Pas de faiblesse en amour. Je ne veux pas Le perdre.
Alors pourquoi lui avoir dit que j'aimais bien ses chaussures?

Ecrit par Katarzyna, à 18:11 dans la rubrique Actualités.
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Mardi (13/09/05)
Dreams and alcohol...love and hate.

Il y a toujours des rêves pour vous rappeller ce que vous n'aviez pas oublié, mais plutôt enfoui quand vous vous êtes enfuis. Je venais de voir mon amour, de goûter ses lèvres, pourquoi donc ai-je du rêver de lui de ce lui qui me terrorise et anihile mon instinc de survie?

Lucas...Lucas. Le nom qu'il porte dans ma vie est tout autre, celui qu'il porte dans mon coeur est celui d'assassin. Le revoir au bas d'un escalier que je gravis chaque jour, qu'il gravissait aussi, avant, et parfois à la queue leu leu je voyais s'éloigner ses cheveux et sa nuque, son dos et son sac, ses jambes et les courbes d'une douceur rare de ses fesses, cachées sous le tissus lâche d'un baggy ou autre frippe.

Cette nuit là, il m'attendait sans m'attendre et je l'ai vu sans le regarder. J'ai du descendre et m'approcher, il portait un pull que je ne lui connaissais pas, et une odeur qui n'était pas la sienne, un mélange de plusieur fragrances recceuillies dans le cou de plusieurs personnes, ceux de Brice, de Tanguy, de Lui. Il portait un pantalon bien différent des siens, un pantalon qui criait "je vais poser mon étoffe sur les bancs des facultées!" pas le sien, pas le sien.

Comme pour marquer un changement.

Je l'ai abordé, il ne m'entendait pas tout d'abord. il était entouré, je ne sais pas, d'une dizaine de personnes peut être. Je crois qu'il parlait. Je me suis hissée sur la pointe des pieds pour lui faire la bise, il a murmuré, choqué, surpris "Etolane, Etolane c'est toi? Toi?" et m'a pris dans ses bras. A décollé un bras, le droit je crois, du long de son corps, pour le refermer autour de ma taille et m'amener à lui, contre lui.

Dans un geste de pure affection. Je suis restée là, au chaud dans son ombre, entre ses bras que j'avais attendu si longtemps et qui, enfin, inespérément, étaient là. Là! Douceur inexprimable, j'aurais pleuré d'être enfin là. Là. Au bon endroit. Au bon moment. Avec Lui.

S'il n'y avait pas ce moment où il m'avait dit "Non pas la bise, j'ai mis de la crème", je crois que tout aurait été parfait. Heureusement qu'il a dit ça. Ca lui ressemble, ce genre de conneries.

Est ce que c'est dans la même lignée des gestes de travers, quand je prends les bras de Brice dans mes mains en le rapprochant de moi pour lui faire la bise? Et des regards de biais et sourires entendus avec David? Je sais pas, je sais plus.

Je me battrais pour mon amour, mais l'intelligeznce du coeur c'est de savoir identifier le bonheur quand il est à ses pieds. Et ça, je ne sais pas si j'en serais capable. Et s'il était déjà dans ma main, dites? Il est dans ma main, dans mon coeur, sur mes lèvres.

Mais j'ai une lettre à Lucas qui me démange le coeur et son affection qui manque à toute ma plume.

Ecrit par Katarzyna, à 20:57 dans la rubrique Actualités.
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Lundi (29/08/05)
Qui?

En qui avoir confiance quand ceux en qui on croit, fort, fort, comme une gamine, quand même ceux là nous trahissent? En qui poser nos illusions? En qui laisser dormir nos larmes? ...

...et sur qui cracher?

Ecrit par Katarzyna, à 23:33 dans la rubrique Actualités.
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Jeudi (14/07/05)
Coûte? Que coûte!

Aspirés, dévorés par la vie de quelqu'un. Je comprends ce que voulais dire M. quand elle parlait des situations inextricable dans lesquelles je me fourrais avec délices. Oh!! La difficulté! L'interdit! File ma fille, ces gestes, ces mots, ces traces sont pour toi.
Aspirés, dévorés, elle était là, elle écoutait mes récits cent fois, cent fois identiques, mais elle écoutait quand même.

T'y crois, toi? Moi je sais plus. Je l'aime de plus en plus, j'ai brisé les barrières derrière lesquelles je me planquais. Cassé ces foutus barrières, dans un dernier espoir de le rapprocher de moi, pour mieux souffrir de la chute. J'aurais du continuer à n'aimer qu'à demi. A demi quand il est là, entièrement quand ce sont ses mains qui sont présentes.
Continuer à donner dans l'illusion du "s'il me quitte, après tout qu'importe?" et si moi je le quittais?

Tu parles, ça n'a duré qu'un temps cette heureuse distance, juste quatres mois. Puis la fameuse phrase "Il y a que je me lasse et qu'on s'essouffle" elle m'a simplement coupé le souffle, effectivement, et je me suis retrouvée effondrée sans trop savoir comment, à chialer comme une conne sur la cuvette des chiottes, en ayant envie de vomir, de me vomir, de vomir ces amours qui s'éteignent trop vite, mais à ne réussir à cracher que cette foutue flotte transparente.

Comme écorchée vive, brûlée vive, battue à mort. Une phrase pour casser des centaines de barrières. Conne de me sentir dans l'immunité. J'ai des bouffées d'espoir, et d'autres de désespoir. Des moment où je me dis, c'est pas si grave.

Mais comment faire? Pour se dire...que l'amour s'évapore? S'effrite, s'émiette, s'aténue.
Moins désirée, moins aimée, qu'il ne sache même plus s'il m'aime mais qu'il continue à me faire l'amour, et moi à le serrer fort, fort, comme si...comme s'il allait lâcher mon corps et s'en aller, loin..loin.

Comment le supporter?

Et relire des sms, et fondre en larmes. Pleurer le temps où...le temps où il m'aimait. J'aimerais le quitter...sans en avoir le courage. Et en l'aimant de tout mon coeur. Mais cette blessure...il ne m'aime plus. Ne m'aimeras plus jamais comme avant. Voilà, c'est dit. Pourtant il veut rester. Pourtant "Il n'y a qu'avec toi que je profite de la vie" et moi je crève.

Je crève de dire "je t'aime" dans le noir, sans écho. Sa tête sur ma poitrine, et aucun écho. Sa tête entre mes seins, sa tête entre mes seins et pas d'écho. Et pourtant ça n'est pas une histoire de cul.

"Je ne veux pas te rendre malheureuse." mais je suis malheureuse. Oh...pas tout le temps. J'exagère.

Je garde les blessures que l'on a pu se faire,
Parce qu'on aime sans armure,
Sans barrière et sans mur de pierre...

Il n'y a rien noir sur blanc,
Seulement ce que je sens...
Rien ne s'écrit vraiment,
Seulement ce que je sens.

Ecrit par Katarzyna, à 22:52 dans la rubrique Actualités.
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